Le récepteur , outil de décodage de la société ... Il y a peu, en ayant choisi pour étude l'IA, j'associais enfin cette thématique non pas à un sentiment que j'avais il y a 20 ans (le mur), mais à celui du vieillissement épigénétique qui interroge tant chacun mais également le collectif. Chacun a un regard sur notre société, les interprétations se bousculent dans le paysage politique quant au point que nous occupons et l'IA, discrètement, tout comme le Covid prête des handicaps cognitifs, l'IA fait donc son chemin de toute évidence et avance l'idée d'une suppléance qui s'affirme jour après jour comme une nécessité. Le fait de l'homme est advenu de jouer également avec son avenir ; expérience post-moderne qui participe tant à la nécessité d'une IA pour se diriger dans un monde "complexe" ou simplement écarter. L'abord du siècle dans lequel nous vivons est maintenant passé mais l'espèce humaine se comporte dans une telle attente du désir de voir où cela nous mène, qu'au fond, un délai d'assimilation est manifeste et le désir de voir, « qui vivra verra », sera manifesté par ce même désir de ne pas être surpris du point de non-équilibre. Equilibrium ? A l'épreuve du réel, l'histoire de la communauté radio est, et a été, ponctuée par les effets comportementalistes. L'IA : qu'est ce qui se transmet où qu'est ce qui doit s'acquérir ? Acquérir non pas au sens d'un objet à acquérir -- tant de vidéos et de discours autour de matériels radio envahissent Youtube -- mais, à l'heure de la révision de l'être dans la fabrique carbone infinie, sans excès, quoique la transformation nécessaire appuie sur une culpabilité qu'il n'est pas nécessaire de lever sauf à en faire carburant, le constat d'une modalité d'être opérateur s'affirme très différente au fil du temps. La limite de la science sociale pour faire rassemblement autour d'une cause interroge le collectif radioamateur… Si la mutation du « je » radioamateur, produit d’une traversée des identifications s’entend ; d’autre part, il est possible d’en rendre compte, comme d’un parcours logique dont les modalités de sortie éclairent les coordonnées de l’entrée dans le monde radioamateur. S’opère, ainsi, en quelque sorte, une traduction de ce qui avait été subjectivé au singulier depuis le collectif. La sortie du paysage radioamateur du REF, possible, débouche nécessairement sur la production d’un savoir nouveau. Mon argument sera, expérience vécue de la structure collective radio, que si la pratique radio est le lieu souhaité par chacun d'un espace désaffecté et sans relation avec le monde de l'entreprise ou de la relation quotidienne entre tous, que cet espace désaffecté, s'il est souhaité intensément lors de notre loisir, qu'il se vit cependant sans cérébro au point que la thématique de la sécurité humaine interroge l'état des lieux de la communauté radio française. Chaque génération étant enfermée dans une image unique de la radio, les opinions variables deviennent critiques systématiques sans que la critique soit opportunité, dans le grand saut du vide, de regarder sur le côté pour faire une pause qui serait un moment pour créer un véritable espace de repos actif pour la communauté amateur et une trajectoire. Éthique, car il est question des fondements mêmes de l’expérience analytique, où s’élucide peu à peu « ce qui a saisi l'opérateur » et déterminé son rapport aux autres et à lui-même, jusqu’à un moment de sortie éprouvée où le dit opérateur entrevoit l’inconsistance de ce qui s’était tissé pour lui quant à sa croyance en une structure de rassemblement. Moment épistémique (racine) pour le monde radioamateur, la fin possible du REF caractériserait une démarche logique permettant de s’extraire de l’imaginaire et des fictions de l’être pour cerner un réel. L'obsession des relais, la communauté des graphistes ayant, de fait, protégé un espace fréquence qu'elle s'est autodéterminée autorité à gérer la répartition des bandes (c'est indiscutable ), un nouveau dispositif se doit de bouleverser les hiérarchies établies et les regards. Les dangers sont maintenant connus depuis 20 ans. Si les coordonnées logiques de ce qui s’est éprouvé pour un opérateur s'affirment, dans un moment de vécu d'un collectif radio, il y a une transformation qui s’entend pour tous. La transformation du monde amateur rapportée au devenir du REF comme une passe interroge le devenir de chacun et dans une modeste mesure notre relation au savoir. Suppléance nécessaire ?? Si certains s'accommodent d'identifications, la mutation d'une passion si participante au monde du XXème siècle se doit d'étudier les signifiants maîtres qui prétendent résorber le réel en éradiquant la jouissance. L'IA comme nomination d'un analyste pour un groupe ?? Ce besoin d'un seul pour tous est-il encore d'actualité alors qu'un petit collectif radio produisait un éternel flux des identifications ? Des groupes multiples font le monde radio et certains vont disparaître au fil d'une trajectoire ou fusionner avec d'autres. Le meilleur des radioamateurs ? Je pose le mot meilleur car dans l'actualité de l'IA, Elon Musk, a donné à un de ses fils un prénom particulier qui impose la nécessité d'une réflexion utile sur différents champs. La meilleure IA est-elle l'homme ? Artificielle, cette intelligence, doit-elle se référer à une sensibilité à être quelqu'un de manifestement correct ou de manifestement sans mobilité de l'esprit ? Le désir de mutation et de mouvement dans l'être remplace donc le sentiment de vieillissement qui traduit tant notre difficulté, au fil du temps, à vivre nos changements physiques et cognitifs. A l'heure où se signifie, via l'IA, le passage de l'analysant en données à l'analyste des données du monde, pas seulement en informatique mais pour chacun, il se propose la possibilité de s'affronter aux signifiants maître de son temps (IA) et de jouer sa partie de l'époque. 73 à Tous. PS : texte proposé par Jean, F1ACC en réaction avec le billet et les commentaires au sujet du REF et de la communauté radioamateur. Le récepteur , outil de décodage de la société ... Il y a peu, en ayant choisi pour étude l'IA, j'associais enfin cette thématique non pas à un sentiment que j'avais il y a 20 ans (le mur), mais à celui du vieillissement épigénétique qui interroge tant chacun mais également le collectif. Chacun a un regard sur notre société, les interprétations se bousculent dans le paysage politique quant au point que nous occupons et l'IA, discrètement, tout comme le Covid prête des handicaps cognitifs, l'IA fait donc son chemin de toute évidence et avance l'idée d'une suppléance qui s'affirme jour après jour comme une nécessité. Le fait de l'homme est advenu de jouer également avec son avenir ; expérience post-moderne qui participe tant à la nécessité d'une IA pour se diriger dans un monde "complexe" ou simplement écarter. L'abord du siècle dans lequel nous vivons est maintenant passé mais l'espèce humaine se comporte dans une telle attente du désir de voir où cela nous mène, qu'au fond, un délai d'assimilation est manifeste et le désir de voir, « qui vivra verra », sera manifesté par ce même désir de ne pas être surpris du point de non-équilibre. Equilibrium ? A l'épreuve du réel, l'histoire de la communauté radio est, et a été, ponctuée par les effets comportementalistes. L'IA : qu'est ce qui se transmet où qu'est ce qui doit s'acquérir ? Acquérir non pas au sens d'un objet à acquérir -- tant de vidéos et de discours autour de matériels radio envahissent Youtube -- mais, à l'heure de la révision de l'être dans la fabrique carbone infinie, sans excès, quoique la transformation nécessaire appuie sur une culpabilité qu'il n'est pas nécessaire de lever sauf à en faire carburant, le constat d'une modalité d'être opérateur s'affirme très différente au fil du temps. La limite de la science sociale pour faire rassemblement autour d'une cause interroge le collectif radioamateur… Si la mutation du « je » radioamateur, produit d’une traversée des identifications s’entend ; d’autre part, il est possible d’en rendre compte, comme d’un parcours logique dont les modalités de sortie éclairent les coordonnées de l’entrée dans le monde radioamateur. S’opère, ainsi, en quelque sorte, une traduction de ce qui avait été subjectivé au singulier depuis le collectif. La sortie du paysage radioamateur du REF, possible, débouche nécessairement sur la production d’un savoir nouveau. Mon argument sera, expérience vécue de la structure collective radio, que si la pratique radio est le lieu souhaité par chacun d'un espace désaffecté et sans relation avec le monde de l'entreprise ou de la relation quotidienne entre tous, que cet espace désaffecté, s'il est souhaité intensément lors de notre loisir, qu'il se vit cependant sans cérébro au point que la thématique de la sécurité humaine interroge l'état des lieux de la communauté radio française. Chaque génération étant enfermée dans une image unique de la radio, les opinions variables deviennent critiques systématiques sans que la critique soit opportunité, dans le grand saut du vide, de regarder sur le côté pour faire une pause qui serait un moment pour créer un véritable espace de repos actif pour la communauté amateur et une trajectoire. Éthique, car il est question des fondements mêmes de l’expérience analytique, où s’élucide peu à peu « ce qui a saisi l'opérateur » et déterminé son rapport aux autres et à lui-même, jusqu’à un moment de sortie éprouvée où le dit opérateur entrevoit l’inconsistance de ce qui s’était tissé pour lui quant à sa croyance en une structure de rassemblement. Moment épistémique (racine) pour le monde radioamateur, la fin possible du REF caractériserait une démarche logique permettant de s’extraire de l’imaginaire et des fictions de l’être pour cerner un réel. L'obsession des relais, la communauté des graphistes ayant, de fait, protégé un espace fréquence qu'elle s'est autodéterminée autorité à gérer la répartition des bandes (c'est indiscutable ), un nouveau dispositif se doit de bouleverser les hiérarchies établies et les regards. Les dangers sont maintenant connus depuis 20 ans. Si les coordonnées logiques de ce qui s’est éprouvé pour un opérateur s'affirment, dans un moment de vécu d'un collectif radio, il y a une transformation qui s’entend pour tous. La transformation du monde amateur rapportée au devenir du REF comme une passe interroge le devenir de chacun et dans une modeste mesure notre relation au savoir. Suppléance nécessaire ?? Si certains s'accommodent d'identifications, la mutation d'une passion si participante au monde du XXème siècle se doit d'étudier les signifiants maîtres qui prétendent résorber le réel en éradiquant la jouissance. L'IA comme nomination d'un analyste pour un groupe ?? Ce besoin d'un seul pour tous est-il encore d'actualité alors qu'un petit collectif radio produisait un éternel flux des identifications ? Des groupes multiples font le monde radio et certains vont disparaître au fil d'une trajectoire ou fusionner avec d'autres. Le meilleur des radioamateurs ? Je pose le mot meilleur car dans l'actualité de l'IA, Elon Musk, a donné à un de ses fils un prénom particulier qui impose la nécessité d'une réflexion utile sur différents champs. La meilleure IA est-elle l'homme ? Artificielle, cette intelligence, doit-elle se référer à une sensibilité à être quelqu'un de manifestement correct ou de manifestement sans mobilité de l'esprit ? Le désir de mutation et de mouvement dans l'être remplace donc le sentiment de vieillissement qui traduit tant notre difficulté, au fil du temps, à vivre nos changements physiques et cognitifs. A l'heure où se signifie, via l'IA, le passage de l'analysant en données à l'analyste des données du monde, pas seulement en informatique mais pour chacun, il se propose la possibilité de s'affronter aux signifiants maître de son temps (IA) et de jouer sa partie de l'époque. 73 à Tous. PS : texte proposé par Jean, F1ACC en réaction avec le billet et les commentaires au sujet du REF et de la communauté radioamateur.Me, Myself, my transceiver, par Jean F1ACC
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#1 · 17 avril 2023, 16 h 01 min