« S’il manque une fonction à votre microcontrôleur, vous trouverez probablement un appareil équipé de SPI ou d’I²C pour étendre ses fonctionnalités. Que vous manquiez de mémoire flash ou SRAM, que vous souhaitiez mesurer la température ou même mettre en place un potentiomètre numérique, il existe une solution. Cependant, si vous avez le luxe de pouvoir choisir entre SPI ou I²C, comment vous décider ?
Les deux interfaces sont apparues dans les années 80, développées pour supporter la communication entre les circuits intégrés ; en fait, I²C est l’abréviation de Inter-Integrated Circuit. Ce sont également des interfaces synchrones, ce qui signifie que l’un des dispositifs fournit une horloge. Cela garantit que tout le monde s’accorde sur le moment où chaque bit de données transféré est valide.
Contrairement aux interfaces série telles que RS-485 ou CAN qui gèrent les communications longue distance, ni l’I²C ni le SPI ne nécessitent un émetteur-récepteur. Elles sont donc assez simples à intégrer pour les concepteurs de puces, tant dans les microcontrôleurs que dans la myriade de périphériques auxquels ils se connectent. »
La suite, en anglais, sur le site Elektor Magazine.
Image : Adafruit