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La future licence : trouvez son nom !

Saint Locdu le Vieux, sous-préfecture de Bourgoin-Jallieu, Isère (38) : vous ne le savez peut-être pas, et si vous le savez vous auriez pu nous le dire, mais nous fêtons aujourd'hui la saint Albin. Ou Talbin pour les plus aisés. Ou zézés épouziskes, mais c'est moins zoli. Ou encore St Alpin à qui on attribue au passé simple du subjonctif la création de l'église de St Étienne encore appelée "Allélévère". D'après les textes anciens, St Alpin serait enterré dans l'église de Maccabées, ce qui pour un décédé est plutôt Montparnasse… ou Bienvenüe si vous prenez les lignes 4, 6, 12 et 13. Elle fut appelée par la suite église de St Just, en chaussée aux moines d'après la légende des siècles de l'avenue parisienne du même nom, cousine d'Aga. Mais venons-en aux faits de Noël, ma mère.

La future licence, appelée précédemment licence novice ou F-Zero, a été débaptisée car son nom n'était plus en adéquation, péréquation, inéquation ou natation synchronisée, avec l'air du temps qui en emporte d'autant plus le vent qu'il en est… d'autan (Oui, oui, le vent d'autan ça souffle, accrochez-vous aux branches).

Du coup, ou du mollet selon Guy, il a phallus lui trouver un nouveau nom. Il a phallus car la licence est un peu à l'image du téhisque, un objet masculin, bien qu'on y trouva des zigreckelles ou des ziksigreckelles, mais là, comme on dit, chacun voit les coucous et les couleuvres à sa porte, à midi ou à quatorze heures.

Car quoi, dit l'indien, une licence novice qui dure une éternité était, si ce n'est mal née, plutôt mal nommée. Autant la peler, ou l'appeler s’il manque de l’âme, licence éternelle… ou silence éternel si on ne la réussi jamais.

Alors quel nom lui donner ?

Licence débutant ? Mais là encore, comme novice, si on né débutant on ne le reste pas toute sa vie. Donc qui dit limite, dit limitation. Mais pourquoi uniquement en Suisse me direz-vous ? Et même si vous ne me le dites pas il suffit que vous le pansiez pour peu qu'il ait tété blessé. Auquel cas attention aux fuites.

En parlant de fuites, revenons à nos plombiers de cinq heures. Comment appeler cette foutue licence ?

La licence IV, bien qu’adaptée à différentes situations comme la réunion dite de LaGalette ou celle dite de l’Agée qui sera plus jeune la veille de sa tenue, fera plus l’inimitié que la cinq partie pour le diable.

Licence de Démarrage ? Pourquoi pas ? Mais une fois qu’on a démarré, que l’on a roulé un temps dans la farine ou pédalé autant dans la semoule, où se colonne vertébrale de hareng ? Où s’arrête-t-on si vous prèléo ? Ou si vous préfésol, ou la, ou ré ? Hein ?

Licence Sportive ? Si l’exapied peut être sportif, il n’y a guerre et paix que dans les contests que l’on en aura besoin. Quoique nommer ‘Sportive’ une activité qui consiste à rester dans un fauteuil confortable pendant 48H à appuyer sur deux boutons, est un tant soit pneu osé, Joséphine !

Licence Universitaire ? Donner le nom d’un grade de niveau Bac + 3 à un niveau CAP est toutossiskabreu et ne fera ni l’Humanité, ni France Dimanche.

Licence Logiciel ? Une licence comparable à une licence open source ? Même si les GNU, GPL, APL, FDL, OSI, FSF, EUPL, EPL, EFL et autres CeCILL peuvent s’apparenter à la menthe ou à nos codes CUL, Z et CW, il est à franklin (Respect !) et surtout, il y a Forcalquier que l’open est à la source ce que le stylo est habile… vesée.

Alors, devant le séchage universel, si vous avez des idées pour venir en aide à vos z’associations, votre z’administration, n’hésitez pas à nous soumettre vos z’idées dans le forum iguane ou avec des couettes.

Soit sans tes fraises,
Fred Astor

PS : Le nom de Licence Fish&Ships est réservé aux malins dodousse ;-P

Illustration : diplome.fr
Source : Monbazillac


News publiée à partir de l’ancien site Radioamateur.Org avec leur aimable autorisation.

 

Bonjour,

Au propos du retrait du point négatif.

Depuis plus de deux décennies, l'examen en vue d'obtenir le certificat se pratique en QCM, en minitel (difficile d'appréhender un schéma sur l'écran !), puis sur ordinateur. Je sais ou je ne sais pas. Je ne sais pas : un facteur chance (point) ou malchance (retrait de point). Maintenant même appréciation ou sanction. (ex : Je ne sais pas qu'un ampli HF puisse délivrer 2000 v ou plus ne sanctionne plus depuis la réforme du point !).

Au temps de l'examinateur qui venait au QRA pour l'examen : il fallait construire tout (ou partie ensuite) de sa station et répondre oralement à plusieures questions techniques. Vous ne m'empécherez pas de penser qu'une mauvaise réponse provoquait dans la réflexion de l'examinateur un sentiment négatif, comme le retrait de point.

Je suppute que l'examen primitif ait été conçu dans cet esprit. Alors quid du retrait du point négatif ? Plus de radioamateurs et d'adhérents au REF ?  Idem pour le bac des annéees 1970 avec moins de 50% d'admis et celui d'aujourd'hui relégué à un examen de BEPC de ces années. Plus de "Pousse-boutons" et moins d'ingénieurs, de techniciens, d'autodidactes ; bref moins d'expérimentateurs, essence de notre passion.

73

Philippe

Petite partie de ma licence en 1981 obtenue au deuxième passage.  il y a 40 ans déjà.
La première fois, il m'a recalé à cause d'une erreur dans le calcul d'un filtre. De cette erreur, je me souviendrai toujours de ses mots: "merci Monsieur, vous reviendrez à la prochaine session."

Les 2 premiers mots me font un peu sourire me concernant mais me font surtout pleurer quand j'entends les perpétuels Fnul se lamenter que c'est dur et difficile quand je vois le niveau demandé.
Là aussi, au lieu de tendre vers l'excellence, tout est dilapidé....
j'imagine le nombre de lombalgies aiguës dont l'inspecteur Mr VENY doit souffrir à force de se retourner dans sa tombe.
F1GRH

Citation de F4FUJ le 17 avril 2021, 13 h 48 min

 

Je suppute que l'examen primitif ait été conçu dans cet esprit. Alors quid du retrait du point négatif ? Plus de radioamateurs et d'adhérents au REF ?  Idem pour le bac des années 1970 avec moins de 50% d'admis et celui d'aujourd'hui relégué à un examen de BEPC de ces années. Plus de "Pousse-boutons" et moins d'ingénieurs, de techniciens, d'autodidactes ; bref moins d'expérimentateurs, essence de notre passion.

73

Philippe

Bonjour,

L'histoire des 3 points pour une bonne réponse et un point en moins pour une mauvaise, était faite pour que l'impétrant ne puisse faire des réponses au hasard.

Après, les associations sont tellement aux abois en terme de membres qu'au lieu de chercher des solutions pérennes et long terme (ça demande du travail, des idées, des finances, ...), elles trouvent les idées qu'elles peuvent. Comme je l'ai écrit, depuis 1980, on ne fait que retirer des difficultés à l'examen et on est de moins en moins, contrairement à ce que les derniers chiffres veulent nous faire croire.

À la limite, je pourrais croire à ce genre de recrutement comme l'ont fait les US et les UK (95 000 pour ces derniers grâce à leur Foundation), mais après, il faut s'occuper des nouveaux, leur donner du grain à moudre, aider les radio-clubs à s'équiper, se former, etc. C'est là que les US et les UK sont dans la mouise car malgré le nombre de licences, il n'y a pas beaucoup plus d'activités. Si c'est pour faire de nouveaux diplômes et de mettre les concours en fer de lance de l'activité jeunesse, on n'a pas besoin de ça et pas besoin d'être nombreux.

Amen 😉